Tournez le dos au passé. « Je fais une chose : oubliant ce qui est en arrière et tendant vers ce qui est en avant, je cours vers le but » (Ph 3.13–14). Ce verset met en lumière une idée fausse qui empêche d’acquérir la maîtrise de soi : perdant un jour, perdant toujours ! Peut-être que vous dites : « Oh, j’ai bien tenté de m’en sortir. J’ai vraiment tout essayé. Je crois que je n’y arriverai jamais. » C’est une idée fausse. Paul dit que nous sommes « abattus, mais non perdus » (2Co 4.9). Observez un bébé qui apprend à marcher. Il tombe souvent, mais il ne reste pas à terre. Il poursuit ses tentatives, et finalement il y arrive. Pensez-vous qu’il puisse aller loin s’il renonçait et disait : « Certains sont faits pour marcher, et d’autres non » ? Les échecs du passé ne signifient pas que vous ne serez jamais capable de changer. Mais à sans cesse y revenir, vous êtes sûr(e) de les répéter. C’est comme conduire une voiture en regardant uniquement dans le rétroviseur. Vous êtes assuré(e) d’entrer en collision avec ce qui est devant vous. Vous devez mettre votre passé derrière vous. Personne n’a connu autant d’échecs que Thomas Edison. La plupart d’entre nous auraient abandonné, mais pas lui. Un jour il a dit : « Ne dites pas que c’est un échec, dites que c’est un apprentissage ! Maintenant je sais ce qui ne fonctionne pas ! » Quand vous réalisez que le péché est source d’échec, c’est un moment décisif et votre tremplin vers la victoire. Gagner, c’est simplement se relever une fois de plus après avoir chuté. Voici donc votre parole du jour : « Le Seigneur a le pouvoir de [vous] soutenir ».