Com­mencez par croire que vous pou­vez chang­er. Vos croy­ances con­trô­lent votre com­porte­ment. Votre façon de penser déter­mine votre façon de ressen­tir. Et quand vos sen­ti­ments sont assez forts, ils déter­mi­nent votre manière d’a­gir. Que vous disiez : « Je n’y arrive pas » ou bien : « Je peux le faire », vous aurez rai­son dans les deux cas. La plu­part du temps vous serez soumis(e) à ce que vous dites. Vos paroles ren­for­cent soit les bonnes, soit les mau­vais­es croy­ances. Dans la pre­mière épître de Pierre, Dieu nous rap­pelle trois fois d’avoir des pen­sées claires et dis­ci­plinées. Pourquoi ? Parce qu’un esprit clair est essen­tiel à la maîtrise de soi. Dieu nous a don­né la force de chang­er nos habi­tudes en nous don­nant la puis­sance de chang­er nos pen­sées. Sommes-nous trans­for­més en tra­vail­lant dur ou juste par la volon­té ? Non. Nous sommes trans­for­més par « le renou­velle­ment de l’in­tel­li­gence » (Ro 12.2). Si votre self-con­trol est mis à l’épreuve, il vous faut rem­plir votre esprit avec les promess­es de Dieu. Voici l’une d’en­tre elles : « Avec la ten­ta­tion, il don­nera aus­si le moyen d’en sor­tir, pour que vous puissiez la sup­port­er » (1Co 10.13). Lorsque Dieu dit qu’il y a pour vous « le moyen d’en sor­tir », vous devez le croire. Paul écrit : « Je puis tout par celui qui me for­ti­fie » (Ph 4.13). Ça veut dire que vous pou­vez chang­er, et vous pou­vez être différent(e). Arrêtez de vous met­tre en sit­u­a­tion d’échec en vous cri­ti­quant : « Je ne vaux rien. Je n’ai aucun con­trôle sur ma vie.» La cri­tique ne marche pas, ni sur vous ni sur qui que ce soit d’autre ! Dites plutôt : « Tout est pos­si­ble à celui qui croit » (Mr 9.23). « Et moi je crois. »