Lorsque vous recon­nais­sez la grandeur de Dieu, deux choses se passent. 1) Vous n’êtes pas tenté(e) de l’analyser et de le ramen­er à votre niveau. 2) Vous ne cherchez plus à le manip­uler, à détourn­er sa volon­té, à vouloir expli­quer sa nature et ses voies. Réfléchissez une sec­onde : com­bi­en de fois Dieu doit-il nous dire : « Mes voies sont élevées au-dessus de vos voies et mes pen­sées au-dessus de vos pen­sées » (Esa 55.9), avant que nous le com­pre­nions vrai­ment ? Com­bi­en de fois doit-il nous expli­quer que c’est lui le berg­er et nous les bre­bis, que c’est lui le cep et nous les sar­ments avant que nous ne nous met­tions à genoux en signe de soumis­sion et disions : « Seigneur, est-ce ta volon­té ? » Si Jésus, le Fils de Dieu a trou­vé bon de prier : « Que ta volon­té soit faite, et non la mienne », ne serait-il pas sage de notre part de prier ces mêmes mots chaque jour ? (voir Mt 26.39). Depuis com­bi­en de temps ne l’avez vous pas écouté en silence pour décou­vrir com­bi­en il est red­outable et insond­able ? Dans Job 22.21, il est dit : « Accorde-toi donc avec Dieu, et tu auras la paix ; par là, ce qui te revien­dra sera bon ». Con­nais­sez-vous Dieu? Si oui, à quel point ? Voulez-vous mieux le con­naître ? Dans ce cas, ça ne se fera pas tout seul. Il faut en faire votre pri­or­ité et y tra­vailler chaque jour. Alors, vous ne serez pas déçu(e) parce que sa Parole vous l’as­sure : « Approchez-vous de Dieu, et il s’ap­prochera de vous » (Ja 4.8).