Tout le monde a besoin d’une famille. Un pas­teur écrit : « Je con­nais des cou­ples au cœur débor­dant d’un amour qui ne demande qu’à se reporter sur un enfant, mais le bébé n’arrive pas. Quand un de ces cou­ples adopte un enfant, il ne va pas lui faire pass­er un test pour rester dans la famille. Il ne va pas le men­ac­er de le ren­dre à l’orphelinat au bout de trois erreurs. Non, il l’accueille à bras ouverts et le cœur joyeux parce qu’il l’aime. Il l’accueille une fois pour toutes, lui donne son nom de famille et en fait son héri­ti­er légal. » Bien avant qu’on ait su avoir besoin de lui : « Dieu avait décidé par avance qu’il ferait de nous ses enfants par Jésus-Christ » (Ep 1.5, BFC). Dans le monde on divorce, on part cha­cun de son côté et on fonde une nou­velle famille. Dieu n’agit pas ain­si ! Vous n’aurez jamais à douter de votre statut et de votre rela­tion avec lui. Quelle que soit votre orig­ine, au moment où vous vous repen­tez et acceptez Jésus comme Sauveur, votre adop­tion devient pleine et entière. Vous faites par­tie de sa famille. En voici la preuve : « L’E­sprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu » (Ro 8.16). Vous vous ren­dez compte ? Plus jamais se sen­tir timide et crain­tif, écrasé(e) par une tonne de cul­pa­bil­ité, car vous êtes main­tenant un enfant de Dieu et « cohéri­ti­er de Christ » (v.17). Le mot « héri­ti­er » sig­ni­fie que vous pou­vez pré­ten­dre à chaque béné­dic­tion et avan­tage que Dieu a con­quis pour vous à la croix. C’est vrai pour tous sans exception !