Jésus racon­te l’histoire de cet homme qui invite plusieurs per­son­nes à un ban­quet. Ils trou­vent tous une excuse pour ne pas venir : « Je dois m’occuper de mon champ… J’ai acheté 5 bœufs… Je viens de me mari­er… » Finale­ment, l’hôte va dire : « Aucun de ces hommes qui avaient été invités ne goûtera de mon repas » (v.24). Vous pensez sans doute que votre cas est dif­férent, que vous avez une bonne rai­son de dire « non » à Dieu. Mais est-ce que ça vaut bien la peine de rater sa des­tinée ? Lorsque Dieu vous par­le, c’est le moment de vérité ! Là, soit vous prenez un engage­ment, soit vous trou­vez une excuse. C’est ici et main­tenant que votre avenir se décide ! Qu’est-ce que Dieu vous demande de faire ? Pourquoi hésitez-vous ? Par peur de l’échec ? Par peur d’être critiqué(e) ? La peur se déguise volon­tiers en excuse. Et chaque hési­ta­tion ou volte-face ajoutera une nou­velle pierre au mur qui fini­ra par vous sépar­er du des­tin que Dieu avait prévu pour vous. John Mason dit : « L’occasion est sou­vent per­due à vouloir en délibér­er. » Alors, si Dieu vous demande d’agir, prenez sa main et avancez avec foi. Vous n’avez aucun con­trôle sur la direc­tion du vent, mais par la grâce de Dieu vous pou­vez régler les voiles pour arriv­er à bon port. George Wash­ing­ton Carv­er a dit : « La plu­part des échecs provi­en­nent de gens qui ont cou­tume de se trou­ver des excus­es. » N’oubliez pas qu’une occa­sion ne se présente qu’une fois. N’allez pas croire qu’elle revien­dra demain. C’est le moment : entrez tant que la porte est ouverte !