Une femme, en voiture sur une route de cam­pagne, voit s’ap­procher une tor­nade. Elle se cache alors der­rière sa voiture et voit le tour­bil­lon détru­ire une mai­son voi­sine. Le calme revenu, elle se pré­cip­ite vers ce qui n’est plus qu’un trou béant, et décou­vre un homme accroupi au fond, les yeux fer­més. Elle lui demande : « Tout va bien ? Y a‑t-il quelqu’un d’autre en-bas avec vous ? » L’homme répond : « Non, juste Dieu et moi en con­ver­sa­tion urgente ! » Pour inciter à la prière, rien de mieux que le vrai besoin. Dans un moment de crise, même les non- croy­ants prient. Cer­tains prob­lèmes sont tout sim­ple­ment impos­si­bles à résoudre par soi-même, d’où les mots du Psalmiste : « Au jour de ma détresse, je t’in­voque, car tu me réponds » (Ps 86.7). Par­fois nos prières ne sont que des appels au sec­ours adressés à Dieu seul. Lorsque vous n’avez plus le choix, votre foi grandit vite et l’ur­gence devient une occa­sion de vivre grandeur nature la grâce et la puis­sance de Dieu. Si vous êtes aujour­d’hui en mode S.O.S, voici une prière que Dieu va exaucer : « Père, j’ai le sen­ti­ment d’être dans une impasse. Fais-moi sen­tir ta présence et les encour­age­ments de ton Saint-Esprit, pour me rap­pel­er qu’avec toi tout est pos­si­ble à ceux qui croient. Envoie une solu­tion céleste à ma sit­u­a­tion ter­restre. De là où je suis, les choses sem­blent dés­espérées. Mais tu es le Dieu qui a créé la terre à par­tir de rien, et ouvert la Mer Rouge pour sauver ton peu­ple. Tu as ren­du la vue à l’aveu­gle, fait marcher le par­a­ly­tique, et per­mis au sourd d’en­ten­dre. Je te remer­cie aujour­d’hui d’être mon Dieu, “un sec­ours qui se trou­ve tou­jours dans la détresse”. »