Dou­glas Woods dit : « Nous avons cha­cun nos valeurs. Cer­taines sont super­fi­cielles, tran­si­toires, ou seule­ment con­formes à la mode. D’autres sont plus pro­fondes et nous suiv­ent toute notre vie. Ce sont nos valeurs fon­da­men­tales. Paul pou­vait s’adapter à chaque cul­ture afin d’amener les gens à Christ, mais sur ses valeurs de fond, il pou­vait dire : « Nous n’avons fait tort à per­son­ne ». Vos valeurs fon­da­men­tales sont : 1) vos amis et com­pagnons pour la vie. Abra­ham Lin­coln a dit : « Quand je quit­terai la prési­dence, j’aimerais garder au moins un ami, celui qui vit en moi ». 2) votre bous­sole. Tout change mais les valeurs fon­da­men­tales demeurent. Comme une bous­sole, elles vous indiquent tou­jours la bonne direc­tion. Dif­fi­cile de vivre ain­si. Les scep­tiques penseront que vous êtes fou de vouloir marcher par la foi. Les gens sans valeurs famil­iales ne com­pren­dront pas l’attachement que vous portez aux vôtres. Les esprits char­nels ne saisiront pas votre dévoue­ment à Christ. Et ceux qui ont des valeurs fon­da­men­tales dif­férentes des vôtres chercheront à vous con­va­in­cre de les suiv­re, ou de revoir vos stan­dards à la baisse. 3) votre point d’ancrage. Sans valeurs fon­da­men­tales, vous êtes à la dérive. Chaque tem­pête peut vous couler, chaque courant vous men­er là où vous ne voulez pas aller. Mais avec elles, vous dis­posez d’une ancre qui vous main­tient même par mau­vais temps. James Dob­son, psy­cho­logue chré­tien affirme : « La crise de la cinquan­taine n’est pas liée à l’âge mais à la prise de con­science des fauss­es valeurs suiv­ies jusque-là. Tout à coup vous réalisez que vous avez grim­pé une échelle adossée à la mau­vaise paroi ».