Ne perdez pas l’e­spoir. « La tem­pête se main­te­nait si forte que nous avions per­du finale­ment toute espérance d’être sauvés ». L’e­spoir est la dernière chose qu’on jette par-dessus bord en temps de crise. Et si on le fait, on n’a que ce qu’on mérite. Êtes-vous dans la tour­mente face à un prob­lème, au point de tout jeter, et au bord du dés­espoir ? Rap­pelez-vous, les marins sur le bateau de Paul ont « finale­ment per­du toute espérance » parce qu’ils avaient oublié que Dieu con­trôlait la sit­u­a­tion, oublié qu’il avait un plan, oublié qu’il pou­vait insuf­fler de l’e­spoir même dans les pires sit­u­a­tions. Dans la Bible, « espérance » n’est jamais chance, hasard ou acci­dent. Non, c’est une foi inébran­lable ! « For­ti­fiez-vous et que votre cœur s’af­fer­misse, vous tous qui vous atten­dez à l’Éter­nel » (Ps 31.25). « Voici que l’œil de l’Éter­nel est […], sur ceux qui s’at­ten­dent à sa bien­veil­lance. Afin d’ar­racher leur âme à la mort et de les faire vivre pen­dant la famine. Notre âme attend l’Éter­nel ; il est notre sec­ours et notre boucli­er, car notre cœur se réjouit en lui, car nous avons con­fi­ance en son saint nom » (Ps 33.18–21). « Pourquoi t’a­bats-tu, mon âme, et gémis-tu sur moi ? Attends-toi à Dieu, car je le célébr­erai encore ; il est mon salut et mon Dieu » (Ps 42.12). « Tout ce qui a été écrit d’a­vance l’a été pour notre instruc­tion, afin que, par la patience et par la con­so­la­tion que don­nent les Écri­t­ures, nous pos­sé­dions l’e­spérance » (Ro 15.4). Voici donc votre parole du jour : Ne perdez pas l’e­spoir, mais « [atten­dez-vous] à Dieu ».