"Je remercie l’équipe de Parole du Jour. La nourriture que je reçois à travers la brochure m'a permis de me relever." Bernadette Je fais un don

Tout le monde a quelque chose à cacher, non par plaisir de tromper, mais parce que cer­taines blessures font trop mal pour en par­ler. Une parole dure de votre mari peut vous bless­er si pro­fondé­ment que vous n’en par­lez à per­son­ne. À l’in­verse, vos reproches inces­sants lui sapent le moral mais il est inca­pable de le mon­tr­er. Alors vous renon­cez tous les deux à panser vos blessures en évi­tant les com­men­taires et les ques­tions. En êtes-vous là aujour­d’hui, à vous bat­tre avec des prob­lèmes trop durs à exprimer ? Dans ce cas, n’ou­bliez pas que les autres font pareil ! Sou­vent leur colère est le symp­tôme d’une blessure, et sous leur appar­ente indif­férence se cache la peur d’être démasqués et sans doute rejetés. Jésus voy­ait le meilleur chez les gens. Il avait à cœur d’être bien­veil­lant avec eux et de porter leurs fardeaux. Pensez à la manière dont il a traité la femme prise en fla­grant délit d’adultère (voir Jn 8.1–11). Il l’a relevée, parce qu’avec lui chaque brin d’herbe ren­ferme une rose poten­tielle ! Rap­pelez-vous que les autres ne vous parta­gent pas for­cé­ment tout ce qu’ils tra­versent. Ils pleurent loin de vos yeux et vous n’imag­inez pas leur soli­tude. Alors au lieu d’alour­dir leur fardeau, essayez de l’al­léger. Vous êtes sans doute la seule per­son­ne sec­ourable qu’ils crois­eront aujour­d’hui. Si vous les aidez à porter leur fardeau, Dieu portera le vôtre. La Bible dit : « Cha­cun, esclave ou libre, recueillera du Seigneur selon le bien qu’il aura fait » (Ep 6.8). Aujour­d’hui, deman­dez à Dieu de pou­voir devenir un portefaix.

"Pour moi c'est un régal de méditer chaque jour Parole du Jour. Je vis la Parole et je l'expérimente. Je veux vraiment vous féliciter pour votre travail qui porte du fruit." Joséphine Je fais un don